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Biographie de Catulle
Introduction |
Rédigé en Compteur hédécasyllabique Le sujet de ce poème n'est pas celui d'un héros ou d'un dieu antique, mais plutôt celui de l'héroïne dont il est tombé amoureux. Lesbia, ou plutôt lesbia, est le sujet de ce poème. Clodia est une femme mariée à un homme important et puissant du nom de Quintus Caecilius Metellus Celer. Comme c'est souvent le cas chez les Romains de la haute société, il s'agit d'un mariage arrangé pour des raisons financières et politiques. C'est pourquoi il n'y a pas de véritable amour entre Quintus Caecilius Metellus Celer et Quintus Caecilius Metellus Celer. Clodia et Quintus L'utilisation du pseudonyme "Lesbia" peut être considérée comme un moyen supplémentaire de dissimuler la liaison, plutôt que d'utiliser directement son nom.
Les lieux mentionnés dans cette pièce sont utilisées dans le cadre de plusieurs métaphores hyperboliques professant son affection pour Clodia. La ligne 3 se lit comme suit : " aussi nombreux que les sables libyens ", ce qui est une allusion à l'" infini ", impliquant qu'" il n'y aura jamais assez de baisers " pour Catulle. Il convient de noter que la mention de la Libye ne doit pas être confondue avec la nation actuelle de la Libye. Les Romains appelaient le continent de l'AfriqueLibye".
Voir également: Épouse d'Alexandre le Grand : Roxana et les deux autres épousesEn tant que Clodia a eu plusieurs autres amants Les œuvres de Catulle qui lui sont consacrées peuvent être perçues comme mélancoliques. Avec la mention de la "femme", les œuvres de Catulle peuvent être perçues comme mélancoliques. lasarpicium" Cette interprétation mélancolique s'explique par le fait que ces plantes étaient souvent administrées aux femmes lors de l'interruption de grossesse, ce qui pourrait être l'expression de son anxiété face aux autres rencontres sexuelles de la vie de Clodia.
On pourrait en outre tirer un double sens des distances entre les lieux mentionnés et de ce que ces lieux signifient eux-mêmes. " La tombe sacrée du vieux Battus La distance littérale donne au lecteur une idée du "nombre de sables libyens" et du "nombre de baisers" qu'il faudrait pour satisfaire les désirs de Catulle. En outre, on pourrait affirmer que pour Catulle, avoir l'affection de Clodia pour lui-même était tout aussi éphémère que la "vision" de l'oracle.vision dans le désert recherchée par les Romains.
En outre, la passion que Catulle éprouve pour Clodia est contrebalancée par la complexité de leur situation : non seulement Clodia a eu plusieurs amants, mais on pense que Catulle a eu une liaison avec la femme d'un sénateur, "See people's secret love affairs... Inquiring me could not count completely" (Lignes 8-11).
Voir également: Dieu du rire : une divinité qui peut être un ami ou un ennemiLes métaphore finale du poème renforce le fait qu'il n'y avait pas un nombre de baisers suffisant pour satisfaire " Catulle fou d'amour " (ligne 10). En ce qui concerne " ensorceler " (ligne 12), il y avait une croyance en sorcellerie selon laquelle si un " nombre spécifique " était associé à la victime d'une malédiction, celle-ci serait plus efficace. Encore une fois, Catulle utilise un double sens lorsqu'il parle d'embrasser son amour, Clodia. Un nombre infini serait le nombre de baisers de Clodia.pour calmer sa convoitise, tout en les protégeant des malédictions.
Carmen 7 |
Ligne | Texte latin | Traduction en anglais |
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1 | QVAERIS, quot mihi basiationes | Tu demandes combien de baisers tu as reçus, |
2 | tuae, Lesbia, sint satis superque. | Lesbia, c'est pour moi et c'est plus que suffisant. |
3 | quam magnus numerus Libyssae harenae | Aussi grand que le nombre de sable libyen |
4 | lasarpiciferis iacet Cyrenis | qui s'étend sur la Cyrène silphifère, |
5 | oraclum Iouis inter aestuosi | entre l'oracle du sulfureux Jove |
6 | et Batti ueteris sacrum sepulcrum ; | et le tombeau sacré du vieux Battus ; |
7 | aut quam sidera multa, cum tacet nox, | ou autant que les étoiles, quand la nuit est silencieuse, |
8 | furtiuos hominum uident amores : | qui voient les amours volées des hommes, |
9 | tam te basia multa basiare | de t'embrasser avec tant de baisers |
10 | uesano satis et super Catullo est, | est suffisant et plus que suffisant pour votre Catulle ; |
11 | quae nec pernumerare curiosi | baisers, que ni les yeux curieux ne peuvent compter |
12 | possint nec mala fascinare lingua. | et qu'une langue malveillante n'ensorcelle pas. |
Carmen précédent
Ressources |
Projet VRoma : //www.vroma.org/~hwalker/VRomaCatullus/007.html